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Les français et la médecine thermale

Afin de mieux comprendre les attentes et la perception des Français vis-à-vis de la médecine thermale, un sondage Toluna-Harris Interactive commandité par le CNETh a interrogé cet automne un échantillon représentatif de la population française.



Innovante quoique depuis longtemps ancrée dans les pratiques médicales françaises, thérapeutiquement reconnue quoique que souvent associée aux médecines douces, la médecine thermale se positionne à la croisée des chemins de nombreuses spécialités et spécificités. Afin de mieux comprendre les représentations des Français à son égard, Toluna-Harris Interactive a interrogé pour le Conseil National des Etablissements Thermaux un échantillon représentatif de la population française.


Voici quelques uns des retours suite à cette enquête :


- Le thermalisme est assez bien connu des Français : 73% d’entre déclarent en avoir déjà entendu parler, dont 43% qui en ont une idée précise


- Le secteur du thermalisme bénéficie d’une opinion très positive dans son ensemble : la quasi totalité des Français indiquent avoir une bonne image des activités proposées dans les établissements thermaux, des établissements thermaux dans leur ensemble ou de la médecine et de la cure thermale en général


- 82% des Français conseilleraient la cure thermale à un proche souffrant de douleurs chroniques, et encore davantage parmi les femmes, les plus âgés et les personnes ayant déjà réalisé une cure


- L’accessibilité financière apparaît comme un point d’inquiétude marqué chez les Français à l’égard de la médecine thermale et des cures en elles mêmes, bien qu’elles soient aujourd’hui remboursées par la Sécurité Sociale sur prescription médicale


Les établissements thermaux sont perçus comme des structures pouvant proposer des solutions innovantes aux problèmes de santé de demain

Retrouvez la synthèse rédigée par Toluna-Harris Interactive sur le site de la médecine thermale : medecinethermale.fr



Méthodologie : enquête réalisée en ligne du 4 au 11 octobre 2022 (soit avant le dépôt de l’amendement Mesnier) auprès d’un échantillon de 2 199 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas et redressements appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région et taille d’agglomération de l’interviewé(e).




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